Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Polémique sur la garde à vue : non aux lois émotionnelles !

11/02/2010 14:01

Polémique sur la garde à vue : non aux lois émotionnelles !


La polémique déclenchée par la garde à vue de trois adolescentes impliquées dans une bagarre à Paris prend une tournure ubuesque. Avant même que l’IGS rende ses conclusions, pourquoi donc stigmatiser les policiers et policières impliquées, dont tout laisse croire qu’ils se sont comportés conformément aux règles, pourquoi hurler à la bavure ?
Que l’on se soucie, que l’on s’émeuve même, de l’explosion des procédures de garde à vue (près de 900 000 pour l’année 2009 !), à cause d’une « politique du chiffre » démagogique et liberticide, qui aboutit à inquiéter une foule d’inoffensifs citoyens tout en lâchant la pression sur les délinquant, évidemment ! C’est une réaction de salut public, nécessaire à l’indispensable rétablissement de la confiance, ébranlée, de la société dans l’Etat régalien et au retour d’une action policière prioritairement tournée contre les délinquants, même sans statistique spectaculaire. D’ailleurs, tous les syndicats de police dénoncent avec force cette dérive inacceptable qui les éloigne, la rage au cœur, de leur mission prioritaire : protéger les paisibles citoyens, traquer le crime.
Ceci posé, on ne peut qu’être révolté par la démagogie anti-policière qui s’est emparée de la sphère politico-médiatique, ce jusqu’au sommet de l’Etat. Emportée par cette déraison irresponsable, la garde des Sceaux nous promet une loi purement émotionnelle qui risque de remettre en cause l’efficacité même de la procédure de garde à vue, pour le plus grand bonheur des trafiquants, délinquants, voyous, membres des bandes violentes, et autres braqueurs. Elle accrédite ainsi le soupçon d’une police agissant au mépris du droit, des règles de la déontologie et des principes républicains !
Trop c’est trop ! Va-t-on voir ainsi un gouvernement de droite affaiblir à un niveau inédit la sécurité publique dans notre pays à cause d’une politique d’affichage sécuritaire dont plus personne n’est dupe et que tout le monde rejette ?
Il faut en finir avec cette sinistre plaisanterie de la « politique du chiffre » totalement irréaliste, contreproductive et dangereuse pour la légitime tranquillité des citoyens ordinaires. C’est la responsabilité du président de la République et de son ministre de l’Intérieur. Qu’ils se ressaisissent enfin !
Tout en recentrant les investigations et les gardes à vue sur les vrais délinquants, le devoir de l’Etat est aussi de donner les moyens juridiques, humains et matériels aux forces de sécurité publique pour accomplir dans des conditions correctes leurs missions. Assez de diminution des effectifs au nom d’une politique aveugle et absurde de non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite ! Assez des commissariats taudis, où les policiers, autant que les justiciables, connaissent des conditions de vie indignes d’un pays comme la France ! Assez des injonctions illégitimes de juridictions étrangères qui prétendent dicter à la République française sa manière de conduire la procédure pénale !
Nos concitoyens doivent manifester tout leur soutien aux policiers et gendarmes qui sont aussi victimes de cette situation ubuesque. Qu’ils ne cèdent pas à cette tentation du mauvais procès intenté injustement aux forces de l’ordre par leur propre hiérarchie. Qu’ils ne cèdent pas à l’angélisme émotionnel d’un démantèlement des procédures grâce auxquelles la police et la gendarmerie les protègent des délinquants. A l’arrivée, ils en seraient les premières victimes.
NDA





Polémique sur la garde à vue : ne pas se tromper de procès

10/02/2010 12:54

Polémique sur la garde à vue : ne pas se tromper de procès


COMMUNIQUE DE PRESSE
 
Gardes à vue : les policiers sont autant victimes que les citoyens
 
La polémique sur le placement en garde à vue de trois adolescentes à la suite de faits mineurs émeut à très juste titre les Français, qui en viennent à croire qu’eux-mêmes ou leurs enfants pourraient connaître le même sort pour des peccadilles.
Néanmoins, chacun doit bien comprendre que les fonctionnaires de police et de gendarmerie sont autant les victimes de cette dérive, qui résulte entièrement de la « politique du chiffre » aberrante voulue par le pouvoir et qui conduit à criminaliser une foule de citoyens inoffensifs pour des besoins d’électoralisme statistique.
Mais attention à ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain ! Ce qu’il faut changer, ce sont moins les procédures que les instructions données par le ministère de l’Intérieur pour l’application, sans aucun discernement ni réelle proportionnalité, de celles-ci.
Le président de la République doit immédiatement donner des consignes à son ministre pour que cesse cette politique qui, comble du comble, conduit à relâcher la pression sur la délinquance grave et violente, en pleine explosion ces dernières années.
En revanche, il faut donner aux forces de sécurité publique les moyens matériels et juridiques de mener impitoyablement leurs investigations contre le trafic de drogue, les cambriolages, les agressions en bandes, les hold-up,… y compris lorsqu’il s’agit de délinquants mineurs, et au besoin en durcissant le code de procédure pénale.
Agir avec fermeté pour maintenir l’ordre républicain, ce n’est pas harceler les citoyens ordinaires en laissant prospérer la délinquance, au risque de discréditer les forces de sécurité publique aux yeux de la population. Il est grand temps que le pouvoir s’en souvienne !
 
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République





Insécurité dans les transports collectifs : DLR renvoie l’UMP à ses responsabilités

10/02/2010 12:48

Insécurité dans les transports collectifs : DLR renvoie l’UMP à ses responsabilités


  Wagons pour femmes : une proposition "sidérante", selon Dupont-Aignan

09/02/2010 16h41 GMT - RÉGIONALES-PARTIS-DLR-SÉCURITÉ-TRANSPORT-RAIL - Nouvelles de France - AFP

PARIS, 9 février 2010 (AFP) - Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la République (DLR), a déclaré "sidérante" la proposition de Bruno Beschizza, tête de liste de l’UMP pour les élections régionales en Seine-Saint-Denis, de réserver des voitures pour femmes le soir dans les trains de banlieue.

"La proposition faite par Bruno Beschizza de réserver des wagons aux femmes dans les RER est sidérante", a estimé le député de l’Essonne, dénonçant "la sécurité à deux vitesses dans les transports collectifs d’Ile-de-France".

Pour la tête de liste DLR en Ile-de-France, "c’est un terrible aveu d’impuissance de la part d’un syndicaliste policier candidat pour le parti au pouvoir, autant qu’une suggestion incongrue à l’heure où la mixité est remise en cause par les communautarismes".

M. Dupont-Aignan invite Valérie Pécresse, ministre de la Recherche et candidate aux régionales en Ile-de-France, à "mettre la pression sur ses collègues de l’Intérieur et de la Justice, dont la politique défaillante est la seule cause de l’augmentation de la délinquance violente en région parisienne".

Il estime urgent de "réviser la législation pénale qui ne cesse de multiplier les remises de peine", et de "geler la Révision générale des politiques publiques (RGPP)" dont la conséquence est selon lui la suppression de "plusieurs centaines de postes en 2010 dans la police et la gendarmerie".

Il faut également selon lui "rétablir les contrôles à nos frontières (...) afin de mettre un terme à l’Europe-passoire qui aggrave considérablement le problème de la délinquance dans notre pays, notamment en Ile-de-France".






Identité nationale : marche arrière toute !

09/02/2010 13:24

Identité nationale : marche arrière toute !


COMMUNIQUE DE PRESSE
Identité nationale : la montagne accouche d’une souris !
 
« Quand je veux enterrer un problème, je crée une commission » disait Clémenceau. Le propos pourrait s’appliquer au Premier ministre, qui vient d’annoncer des mesurettes à l’issue d’un séminaire sur l’identité nationale conçu pour clore un débat qui lui échappe complètement.
Si la montagne accouche ainsi d’une souris, c’est parce que le gouvernement a mal posé le débat dès le départ, parlant - à des fins électoralistes - d’identité nationale plutôt que d’unité nationale.
Aborder un tel débat sous l’angle de l’unité nationale aurait été fécond, même si cela aurait conduit à mettre en relief les insuffisances, voire les contradictions, de la politique gouvernementale. L’unité nationale qui rassemble les Français, c’est :
- le respect de la souveraineté populaire, de la démocratie, bafouée par la ratification parlementaire du traité de Lisbonne ;
- la défense de l’indépendance nationale, abaissée par la réincorporation du commandement militaire intégré de l’OTAN pour complaire aux Etats-Unis ;
- l’unicité du peuple français, menacée par la fièvre communautarisme que l’on excite au lieu de la faire tomber ;
- la promotion d’une vision positive et dynamique de l’histoire nationale, mise au rebut en classe de terminale scientifique pour des raisons d’économies comptables ;
- le maintien de services publics nationaux, indissociables du pacte républicain, que l’Etat laisse Bruxelles démanteler les uns après les autres ;
- le relèvement d’une école de la République fondée sur le mérite et le concours, menacée aujourd’hui par la tentation des passe-droits ethniques ;
- la préservation de la paix civile et de la sécurité des Français, première de leurs libertés, que l’on sacrifie sur l’autel de la politique du chiffre et des réductions d’effectifs.
A l’heure où la France et les Français ont plus que jamais besoin de retrouver leurs repères, il est bien dommage que le débat sur l’unité nationale ait été ainsi escamoté.
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République





Insécurité endémique en Ile-de-France

09/02/2010 13:14

Insécurité endémique en Ile-de-France


Le président du Conseil Régional d’Ile-de-France a été épinglé récemment, à juste titre, sur la sécurisation insuffisante des lycées franciliens, mission qui dépend de la Région, à l’occasion de l’agression d’un adolescent dans l’enceinte du lycée Adolphe Chérioux de Vitry-sur-Seine. Il est bien entendu important de mieux sécuriser les établissements scolaires par la pose de clôtures, l’installation de caméras de vidéosurveillance, le renforcement de l’encadrement adulte, etc.
Cependant, au-delà de la bataille de chiffonniers que se livrent sur cette question les têtes de listes franciliennes de l’UMP et du PS, Valérie Pécresse et Jean-Paul Huchon, chacun voit combien la vraie défaillance se situe à un tout autre niveau : celui de l’Etat, dont la mission de maintien de la sécurité publique et de la paix civile est de moins en moins bien assurée, malgré les statistiques officielles qui cherchent à masquer cette réalité gênante.
Les causes en sont multiformes. Parmi elles, la liberté de circulation en Europe en est une qui pèse lourd, notamment pour l’Ile-de-France.
En effet, depuis l’élargissement de l’UE aux pays d’Europe centrale et orientale, le problème de la délinquance a pris une acuité nouvelle avec l’arrivée en nombre de populations roms, peu intégrées dans leur société d’origine, souvent rejetées en conséquence et attirées par l’eldorado de l’Ouest.
Qui n’a vu à Paris, dans la rue, le métro, les gares, ou sur les axes routiers des portes de la capitale, ces fameux roms, miséreux, pratiquant la mendicité des enfants ou lavant agressivement les pare-brise ? Si les drames humains qui se cachent derrière ces situations ne sont pas niables, s’il convient bien sûr de traiter avec humanité ces populations, comment ignorer qu’elles constituent un facteur d’insécurité important pour les riverains ?
L’actualité vient d’ailleurs d’en fournir un nouvel exemple : un Rom de 21 ans, résidant dans un camp de gens du voyage de Seine-Saint-Denis, vient d’être interpellé après avoir commis quatre viols en moins d’une semaine, assortis de vols sous la menace d’une arme…
Voilà où mène l’Europe de Schengen et du traité de Lisbonne, que l’UMP et le PS ont porté à bouts de bras, y compris en bafouant le suffrage universel exprimé le 29 mai 2005 par la ratification parlementaire d’une Constitution européenne sans le nom. L’Europe-passoire ne cesse d’ailleurs d’empirer : encore tout récemment, Eric Besson a étendu la liberté de circulation européenne à la Serbie, à la Macédoine (où réside une forte minorité albanaise) et au Monténégro, promettant à la Bosnie une extension prochaine de ce régime !
Partout en France, les forces de sécurité publique dénoncent une « politique du chiffre » qui les oblige à harceler les citoyens ordinaires, notamment dans le cadre de contrôles routiers, au détriment de la lutte contre la vraie criminalité, particulièrement forte en région parisienne : trafics de drogue, d’armes, cambriolages meurtriers, violences aux personnes, etc. ne cessent d’augmenter.
C’est bien pourquoi il est pour le moins étrange de voir Valérie Pécresse nous promettre plus de sécurité en Ile-de-France, elle qui est solidaire de ce bilan gouvernemental calamiteux.
Les mesures à mettre en œuvre au niveau national pour inverser la tendance sont connues, et je les défends régulièrement à l’Assemblée nationale : - Le rétablissement des contrôles à nos frontières, en vertu de la clause de sauvegarde prévue par le traité de Schengen, afin de mettre un terme au grand n’importe quoi actuel ; - La révision de la législation pénale qui ne cesse de multiplier les remises de peine - les condamnations inférieures à deux ans ne donnent plus lieu à de l’incarcération depuis la loi de novembre dernier ! – et la dotation de la justice en moyens financiers et humains lui permettant de faire construire le nombre de places de prison nécessaires, aujourd’hui très déficitaire ; - Le gel de la Révision générale des politiques publiques (RGPP) pour ce qui concerne les forces de sécurité publique, qui conduit au non-remplacement d’un départ à la retraite sur deux (plusieurs centaines de postes supprimés en 2010 dans la police et la gendarmerie !), et la remise en cause de cette « politique du chiffre » absurde et contreproductive, qui relâche paradoxalement la pression sur les délinquants pour l’appliquer sur d’inoffensifs citoyens ordinaires.
NDA






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